Henri Armand Virgil Gaugeat (1873-1956)

 


la guerre le trouve Capitaine au 337e régiment d'infanterie et il y est nommé chevalier de la légion d'Honneur le le 20/4/1915.

Nommé Chef de bataillon au 137e régiment d'infanterie. Il est fait officier de la Légion d'Honneur le 16/4/1917. .
Il a eu deux citations au GQG : Le 20/4/15 et le 14/4/17

Il prend le commandement du 26e bataillon de chasseurs en janvier 1918. Durant l'année 1918, le bataillon obtient deux belles citations :
1/ : "Bataillon de chasseurs qui n'a cessé de se distinguer depuis le début de la campagne : sur les Hauts de Meuse, en Champagne, à Verdun, sur la Somme, sur l' Aisne et en Picardie. A, sous les ordres du commandant Gaugeat et au cours de la poursuite des Allemands entre le 8 août 1918 et le 8 septembre 1918, montré des qualités remarquables d'énergie, de constance et de ténacité dans l'eliort, en exécutant un passage de ruisseau devant des positions naturellement très fortes et défendues par des nombreuses mitrailleuses, en poursuivant sans répit un ennemi en retraite et en lui enlevant plusieurs villages fortifiés sans lui donner le temps de se rétablir. "
2/: " Unité remarquable par son ardeur au combat, son moral et son endurance. Sous les ordres du chef de bataillon Gaugeat, a de nouveau, par deux fois, manifesté son courage et ses brillantes qualités manoeuvrières. Le 8 octobre 1918, après huit jours de durs combats, a brillamment coopéré à la prise du dernier débouché de la position Hindenburg, au nord de Saint-Quentin. Le 4 novembre, par une attaque audacieusement conduite, s'est emparé d'un village solidement tenu par l'ennemi, permettant ensuite le débouché de toute la division au nord du canal de la Sambre. A capturé, au cours de ces opérations, 157 prisonniers, dont 2 officiers, 45 mitrailleuses ou mitraillettes, 5 minenwerfer, 1 fusil anti-tank et une grande quantité de matériel de toute sorte. "

Durant la guerre, il a été blessé à plusieurs reprises Le 30/9/16 à Fricourt, le 12/6/1916 d'une plaie au bras gauche, le 30/3/18 à Aubvillers, le 1/9/18 à Ercheux

Commandeur de la Légion d'Honneur le 7/7/1933, comme Colonel commandant un centre de mobilisation

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