OFFICIERS TUES OU BLESSES

La veuve - Photo Blaise (Tours)

De 1805 à 1815, pendant les 10 années de lutte du premier empire contre les armées d'Europe coalisées, il y eut dans l'armée française 12.496 officiers tués et 41.548 officiers hors de combat.

A cette période de guerre incessante, hors du contexte de ce site, succédèrent plusieures années de paix, puis la campagne d'Espagne (1823), ainsi que celle de Belgique et de Rome (1849), firent subir quelques pertes à l'armée française.

C'est avec le reprise des grandes campagnes du Second Empire que la mortalité des officiers reprit : La campagne d'Orient (Crimée 1854-1856) coûta 2.800 officiers tués ou blessés, celle d'Italie 1.163 et celle de 1870-1871, 7.783 officiers.

Les campagnes coloniales entre 1830 et 1908 eurent aussi un bilan significatif, quoique inférieur. En Indochine et au Tonkin (443), au Mexique (317) et en Algérie (3.011), les officiers français payèrent leur tribut.

• Portraits de blessés

• Les officiers tués (1850-1869)

• Les officiers tués en 1870-1871
• A l'armée d'Alsace et de Chalons (Wisembourg, Froeschwiller, Beaumont, Sedan)
• A l'armée de Lorraine (Spicheren, Borny, Rezonville, Saint Privat, Siège de Metz)
• Lors du siège de Paris et des opérations des armées de province

• Les officiers tués (1871-1913)
• Les généraux tués en 1914-1918

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